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Les jeux "handicapés" : pour le plaisir, la pédagogie... et un nouveau marché

Ludiques, éducatifs, rééducatifs, coopératifs, les jeux construisent et rassemblent. La période des fêtes semble propice à l’interrogation sur une tradition devenue commerciale, y compris dans sa version "handicap".
Sociétés, associations, particuliers se partagent ce qu’il convient de reconnaître comme un véritable marché. Un cocktail au Ph (rapport Pédagogie/Humour) pas si neutre que ça.


Becky, Patio Playhouse, le handicap vu par Playmobil et Fisher Price, Baby Down.

L’enquête sur le marché du jouet "œhandicapé" n’est pas aisée. Bien peu de sources traitent d’un sujet trop récent et la thématique reste bien peu française. Pourtant la floraison des sociétés spécialisées s’observe, ne serait-ce que par la visibilité de leurs sites internet : Hoptoys, Auditoys, Ludilhand, Doremi pour les plus pointues, Ludobraille, comme association, Ludoplume ou jeprogresse.com pour leur proximité avec les concepts des jouets adaptés. La vague s’internationalise, des formations se proposent, des ludothèques se spécialisent, des collectionneurs commencent même à s’emparer du phénomène.
Les grandes firmes ont déjà adapté leurs produits. Mattel a décliné dès 1997 sa poupée Barbie en Becky sur fauteuil roulant, Little Tikes créé les "œpatios playhouses" accessibles aux enfants à mobilité réduite. Fisher Price et Playmobil ont mis en scène et accessoirisé des situations de handicap, la FNAC a ouvert sa fondation Eveil et Handicap, Schleich a éclopé ses Schtroumpfs, Bourrelier consacre quelques articles référencés "handicap" dans son catalogue.
L’initiative de ce mouvement revient, en 1991, à Toys’R’us, cependant mà » par un principe autre, celui d’une sélection de ses jouets non adaptés pour son catalogue annuel "Toy guide for differently-abled kids", en collaboration avec le National Lekotek Center [1]. Récemment la société espagnole d’Alicante Superjuguete a mis sur le marché "Baby Down", la première poupée trisomique du pays avec, sur l’emballage, la mention "jouet d’intégration sociale". Alors dans quelles intentions ces jeux et jouets sont-ils conçus ? Et par qui ?

Un grand atelier en action... et réactions

À l’origine se trouvent en grand nombre des professionnels et spécialistes du handicap, ergothérapeutes, orthophonistes, etc. Véronique et Bryon Torres, fondateurs d’Hoptoys à Lunel, sont éducateurs spécialisés, de même que Benoît Carpier, inventeur du jeu "Keski handicap". Virginie Biarnès, créatrice de Ludilhand, exerce, elle, comme psychomotricienne. Entretenu au sujet de la conception, le service communication d’Hoptoys nous a indiqué que la conceptrice de la poupée en fauteuil développait par ailleurs l’habillement des personnes polyhandicapées. Le pionnier Tom DeLuca, chargé du développement chez Toys’R’us et du programme "handicap" dès 1991, se présente comme directement concerné par le sujet à travers la profession de son épouse, directrice d’une école spécialisée.
Au rang des initiateurs, moins nombreux sont les parents d’enfants handicapés. Parmi eux nous rencontrons Marc Claerhout, père d’une enfant autiste, à l’origine d’Autitoys en Belgique. L’association nivernaise Ludobraille, présidée par Nadia Michot, a développé l’idée d’une fabrication sur mesure et gratuite après échange avec la famille de l’enfant aveugle ou malvoyant, et adaptation d’idées soumises par des écoles spécialisées.

Poupée et Captain (Hoptoys et Ludilhand) Dominos par Ludobraille et Poussette par C. Arnault.

Cette conception du "sur mesure", doublée d’un désir de préserver la créativité spontanée dans un cadre familial a présidé au concours des Papas Bricoleurs et Mamans Astucieuses existant depuis 1998. Association grossissant chaque année, Handicap International, Leroy Merlin, le magazine Déclic, l’Association Française contre les Myopathies, la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris, la FENCICAT [2], le site handicap.fr et l’association des papas bricoleurs, entendent astucieusement contourner les lois du marché induisant un coà »t élevé et certaines inexistences. Claude Arnault, père d’une petite fille de huit ans polyhandicapée a ainsi reçu le prix spécial du jury 2006 pour l’invention d’une poussette-jouet déambulateur dont le coà »t de fabrication se limite à 25 euros.
La question se pose, à ce stade, de l’intervention des personnes handicapées elles-mêmes dans la conception des jeux et jouets qui leur sont destinés. À dire vrai, lors d’un certes bref tour d’horizon, n’a été repéré qu’un cas de participation active à l’élaboration. Handi-défi, un jeu permettant d’expérimenter les difficultés rencontrées lors de l’organisation d’un voyage, a été inventé par Sylvie Niogret, handicapée moteur et visuel de naissance, relayée par l’association lyonnaise Quai des Ludes, faute d’avoir trouvé un éditeur commercial...
L’A.F.M. a fait plancher son Service Aides Techniques sur cette question de la participation des personnes handicapées à la conception des matériels qui leur sont destinés. Son rapport "Innovation, Conception, Handicap" [3] place cet enjeu sur le terrain de l’éthique et préconise que "l’intégration de la situation de handicap dans le processus de conception passe par une implication des utilisateurs dans les activités de conception". Un peu plus loin, il définit "différents utilisateurs (utilisateur final, tierce personne, etc.), des facteurs environnementaux (...) et des habitudes de vie c’est à dire les activités aussi bien que les usages".

Quand le docteur joue à la poupée

En préambule à la création de certains jouets "handicapés", s’enracine une tradition que les concepteurs actuels ne nient pas. Madame Moldaia, chargée de communication de la société Hoptoys, l’évoque au sujet des figurines handicapées destinées à vulgariser les différences. "L’idée existe depuis assez longtemps. Les figurines sont utilisées par les médecins pour parler des douleurs et interventions aux enfants. Par exemple une jambe cassée".
Apprendre en manipulant et voyant l’objet, la méthode est ancestrale mais fonctionne encore. Adrienne Kertri, militante en fauteuil à l’APF [4], sensibilise à la maladie dans les établissements scolaires. Pour cela elle collectionne les jouets "handicapés" qu’elle utilise comme support. Le concept provient d’une pédagogie médicale vulgarisée jusque sur les champs de foire au XIXe siècle à travers les musées de cires pathologiques.
La discipline a été créée sous la Restauration dans un but didactique et moral. Ces collections comportaient une section concernant "le corps malade" et certaines difformités voire "monstruosités". Quittant les amphithéâtres, elles ont gagné les baraques foraines, celles des "docteurs" Gross, Groningue, Deranlot, Spitzner ou Lauret. Elles ont disparu en 1914, accusées d’incitation au "voyeurisme" et même à la "pornographie". La crudité du spectacle a visiblement choqué après des années d’affluence [5].

Figurines (Bourrelier et Hoptoys), Cire du Musée Dupuytren, Poupée (3B Scientific), Organ Donors par D. Foox.

Cette tradition didactique connaît encore des échos aujourd’hui à travers certains jouets diffusés comme "mannequins de soin et nursing". Ainsi la société 3B Scientific commercialise-t-elle une série de poupées présentant le syndrome de Down (trisomie 21), des deux sexes et d’ethnies différentes (européenne, asiatique, africaine, latino-américaine). Présentées comme matériau didactique pour la formation scientifique et médicale, elles n’en présentent pas moins les caractéristiques d’un jouet et s’adressent à des enfants afin "d’augmenter l’auto-acceptation et l’identification des enfants atteints du syndrome de Down. La poupée est disponible avec la bouche ouverte et la bouche fermée, bien que la bouche fermée ait un effet plus didactique pour apprendre aux enfants à ne pas tirer la langue. La poupée peut également servir de jouet pour les enfants non handicapés" poursuit l’argumentaire du catalogue. Leurs traits marqués et distincts tranchent avec la récente poupée espagnole Baby Down, à l’esthétique plutôt estompée car diffusée par la firme Superjuguete essentiellement tournée vers le jouet commercial.
Ces jouets s’intègrent plus généralement dans une tradition que l’on pourrait qualifier de "sensibilisation". En 1977 apparaissait Gay Bob la première poupée gay [6], s’ensuivaient dans les années 1980 les jouets ethniques pour l’éducation à la tolérance, et aujourd’hui les Organ donors, figurines créées par l’artiste David Foox portant un organe (poumon, foie, rein etc.) à la place de la tête pour sensibiliser au don d’organe, l’encourager... et collecter des fonds [7].

L’objet... et support d’un nouvel handi-marketing ?

L’identification d’un marché du jouet adapté ou "handicapé" date des années 1990, ayant pointé le bout de son nez aux USA après le programme lancé en 1991 par Tom DeLuca chez Toys’R’us. Des premiers chiffres font l’objet de publication par le New-York Times en 1997 [8] : "Le marché des jouets pour enfants handicapés s’élève à 2 milliards de dollars par an, selon les Toy Manufacturers of America, et pourrait augmenter plus vite que le marché global du jouet de 20,7 milliards de dollars". En 2003, on compte 22 fournisseurs de jouets pour enfants handicapés tenant boutique sur internet. Les chiffres restent pour l’instant muets en France. Quelques indices y révèlent un marché timide. De par leur relative cherté, le cloisonnement voire la différenciation qu’ils induisent, les jeux et jouets adaptés ou portant l’image du handicap séduisent plutôt les institutions que les familles : Education Nationale, ludothèques, associations. Un certain nombre sont fabriqués par des C.A.T. [9]

Handigo The Game (Handicap International) et Kapoupakap.

La mode des "Serious Games" propre à la culture d’entreprise a gagné les handi-jeux. En 2008, le marché des serious games, politic games et autres learning games conçus comme des outils de formation ou de publicité, représentait seulement 10 millions d"™euros en France et déjà 50 milliards de dollars dans le monde. Dans le cadre de son plan de relance, l’État français a attribué mi-septembre 2009, 20 millions d’euros à 48 projets de serious games. Handicap International, dans le cadre de son programme Les Handigosolidaires, en a déjà fait réaliser un par Ubisoft (Handigo The Game) [10]. L’AGEFIPH [11] et Defifoo ont missionné la game agency 3D Duo pour sensibiliser à l"™intégration des travailleurs handicapés en milieu professionnel à travers le jeu TH Web. Conçu par Benoît Carpier, ancien éducateur spécialisé et formateur, Keski Handicap, jeu de questions et mise en situation, côtoie Les Handispensables, jeu de cartes édité par GRRR...Art Edition. L’agence de communication TMPNEO a, avec le soutien du cabinet Nayan, édité le jeu de cartes KAPouPAKAP pour "sensibiliser les grands en entreprises" sur le handicap. L’APF vient de lancer le jeu Cahin-Caha destiné à la transmission de connaissances et à la mise en application de la loi du 11 février 2005. Et la liste grandit.

Jeux adoptés ou règles adaptées ?

Beaucoup d’orthophonistes utilisent des jeux de rééducation, des associations telles que Loisirs Pluriels organisent des activités ludiques à destination des personnes handicapées et valides. Les jeux adaptés figurent à l’inventaire des coins ludothèque.
Le jeu "activité essentielle du jeune enfant" selon Piaget, "activité libre menée pour le plaisir" selon Winnicott [12].
Deux définitions, deux approches, celle d’un biologiste et d’un épistémologue, celle d’un pédopsychiatre, psychanalystes tous deux, qui se rejoignent par les compétences reconnues nécessaires pour le bon développement de l’enfant. Répertoriés en fonction de l’âge, ce sont donc moins les possibilités qu’a l’enfant de comprendre les règles du jeu qui détermine la classification des jeux mais la structuration des schémas cognitifs que l’objet doit développer progressivement chez l’enfant. Et si on le dit ludique (le jouet) c’est parce que tout en s’amusant l’enfant apprend sans le savoir, des premiers jeux d’éveil aux règles fixées par le jeu, s’évade du visible et du sensible stricto sensu, compétences acquises, pour un jeu, de rôle où il joue : à ne plus être lui-même selon les règles propres au jeu. Il est un autre, jouant, participant avec d’autres, à un monde, fictif, qui socialise le petit être.

Guide "adapté" Toys’R Us, et Handilud (FM2J)

Nous avons rencontré Anne Felisaz, éducatrice spécialisée et psychologue à l’association marseillaise Soliane, qui nous confirme qu’une règle reste de mise : la non compétition afin d’éviter l’échec. Les avis divergent cependant sur l’utilisation des jouets adaptés. Comme Anne Felisaz, Peggy Bourdier, coordinatrice d’animation à la ludothèque marseillaise Le P’tit Camaà¯eu, préfère adapter les règles des jeux traditionnels pour rapprocher enfants valides et handicapés, tout en utilisant quelques jouets venant de catalogues spécialisés, plus faciles à manipuler pour certains enfants. Le FM2J (Centre national aux Métiers du Jeu et du Jouet) propose, depuis peu une formation "Jeu et Handicap" à partir des références répertoriées dans le guide Handilud publié en collaboration avec l’association lyonnaise Quai des Ludes. Volontairement, cette sélection ne retient que 80 jeux et jouets non spécialisés.
Quoi qu’il en soit, l’esthétique du jouet adapté a déteint sur une autre sphère, celle des aides techniques. D’un design ludique, certains objets du quotidien cherchent à annihiler les refus, rejets et hésitations. Des produits adoptent désormais les atours d’une grenouille ou d’une soucoupe volante cachant la fonction première d’un contacteur.

À société ludique, recherches et réponses ludiques : Google nous en offre 253 000 pour la requête "handicap ludique"...

P.V., M. F., K. G.

Remerciements à 
Mme Moldaia, chargée de communication de la société Hoptoys,
Anne Felisaz, éducatrice psychologue à l’association Soliane,
Peggy Bourdier, coordinatrice d’animation à la ludothèque Le P’tit Camaà¯eu,
Benoît Carpier, concepteur de jeux, pour les entretiens qu’ils nous ont accordés.

Notes

[1Centre de ressources américain à but non lucratif, situé à Chicago, pour les jouets destinés aux enfants handicapés. http://www.lekotek.org.

[2Fédération Nationale des Centres d"™Information et de Conseil sur les Aides Techniques.

[3O. Plos, C. Dumas, S. Buisine, A. Aoussat, Innovation, Conception, Handicap - Rôle de centres de ressources nationaux sur le handicap pour une logique d’innovation, Handicap 2006, AFM, ENSAM.

[4Association des Paralysés de France. Mme Kertri est atteinte de sclérose en plaque. Voir son blog http://journalextimerecherchespoir.over-blog.com/article-10546480.html.

[5Christiane Py, Cécile Vidart, "Les musées d’anatomie sur les champs de foire", Actes de la recherche en sciences sociales, n° 60, 1985, pp. 3-10. Le Musée Dupuytren est visitable au Centre des Cordeliers, 15, rue de l’Ecole-de-Médecine 75006 Paris et les Musées d’Anatomie Delmas-Orfila-Rouvière & Spitzner-Roussel à l’UCLAF, Université Paris V René Descartes, 45, rue des Saints-Pères, 75006 Paris.

[6Créée par Harvey Rosenberg, diffusée par sa société Gizmo Development.

[7mises en vente "à l’aveugle" sur http://www.foox-u.com/vinyl/organ-donors-by-foox.html

[8D. Canedy, "More Toys are Reflecting Disabled Children Needs", The New York Times, 25 décembre 1997.

[9Centres d’Aide par le Travail.

[10Campagne de sensibilisation auprès des 10-14 ans. Trois mascottes typées manga, Rochongo, Spidigo et Rigoligo, baptisées « les handigos », sont les fils conducteurs de cette sensibilisation.

[11Association de Gestion du Fonds pour l’Insertion Professionnelle des Personnes Handicapées.

[12Jean Piaget, La Formation du symbole chez l’enfant. Imitation, jeu et rêve. Image et representation, Delachaux & Niestle, 1976
Donald Woods Winnicot, Jeu et réalité, l’espace potentiel, Gallimard, 1975 (Playing and Reality, 1971), réédité en folio, 2004.


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